Après avoir quitté l'affreuse Santa Marta, nous avons rejoint le Paradis au Costeno Beach Sur Camp (après 30 minutes de marche dans la mangrove). Un camp où zonent des jeunes loin de toutes infrastructures.Une plage sauvage où il n'y avait que nous, une zone de hamacs pour le soir observer les étoiles avec une tite bière à la main, une chambre dans laquelle on s'endormait et on se réveillait au bruit des vagues.Et pour rapprocher les gens, no wi-fi.Le bonheur.
Le deuxième jour, nous somme allés au Tayrona NP, un parc dans lequel il y aurait des plages splendides, tellement splendides qu'il faut marcher des heures sous une chaleur insoutenable en dénivelé pour avoir la frustration de ne pas pouvoir s'y baigner (courants dangereux). Le parc n'est pas spécialement donné : 13 euros plus une navette payante 2 euros aller-retour car le parc est à 7km du guichet . C'était beau mais je préférais notre plage du camp. Alors, on a du rebrousser chemin a 15h car le parc à la bonne idée de fermer à 17h. Voyant l'organisation des navettes à la colombienne (le foutoir), Alain a dit, on va retourner jusqu'à l'entrée ( 7km, je le rappelle) à pied. Quelle mauvaise idée, après 5 minutes de marche, on a vu plein de navettes arriver et nous dépasser et on a souffert pour revenir afin d'arriver à 17h pour que notre taxi moto nous reconduise au camp. Enfin, on est backpacker ou on ne l'est pas ;-).Le soir, re-moment magique sur la plage.
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