Après avoir passé une nuit à San José dans une chambre de passes à l'hôtel San José qui est simple mais propre et confortable' nous arrivons à la Fortuna.
A notre hôtel Las Palmas, le gérant réputé pour sa mauvaise humeur, nous propose l'excursion du cerro Chato pour 45$/pers avec le transport aller-retour, un dîner et les termes le soir accompagné d'un cocktail. On ne se prend pas trop la tête et on réserve. D'autant plus que le départ est à 10h et le retour à 20h.
Le Cerro Chato
Le lendemain, on entame une longue et dure ascension pour arriver au panororama du volcan Arenal. Le chemin est boueux, assez casse-figure et il fait très chaud, on sue des gouttes.
Parfois, il n'y a que les racines de grans arbres qui nous permettent de monter grâce a cet escalier naturel.
On force sur nos jambes, on se hisse par des cordes pour enfin arriver au panorama.
On a de la chance, un voit une bonne partie du volcan qui est souvent couvert par les nuages. On profite de la vue pour casser la croûte devant la belle vue.
Ensuite, on entame un descende très glissante et toujours dans la boue pour rejoindre une lagune. Nous nous y baignerons pas car c'est pas pratique et tout boueux. Nous attendrons les termes.
On a continué vers une cascade, qui paraissait assez froide, on passera aussi notre tour.
A la fin du camino, on se retrouve à un grand et luxueux lodge où l'on pourra admirer le couché du soleil de l'autre côté du lac où se trouve Monteverde. Notre guide nous emmenera voir les grenouilles vertes fluo du costa.
On reprendra la voiture pour un moment détente au terme. On se retrouve dans une rivière chaude, dand la pénombre et juste éclairé par des lampes torches. Le summum sera le petit cocktail dans cette ambiance relaxante. Après une journée de transpiration et boueuse, cette étape tombe à point. On rentrera à l'heure à la Fortuna pour un dernier souper (Ceviche y hamburguesa).
De La fortuna à Samara
Le lendemain, nous replions bagages pour Samara afin de rejoindre enfin nos amis Nicolas et Geoffrey. On quitte à 6h du matin pour arriver à 18h15. Le denier bus fut horrible. C'était plein de bébé qui criaient dans tous les sens, même avec mon casque, je pouvais kes entendre. Une heure, c'est supportable mais 4 heures, c'est inhumain. Bref Nico et Geo nous ramassent à la petite cuillère épuisés, fatigués de ces 6 premiers mois de voyage mais on a des souvenirs plein la tête. En tout cas, c'est sur, on ne mettra plus un pied dans un bus de ce pays, on privilegeria le van ou le 4x4.
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