mardi 17 novembre 2015

Iguazu, jour 1 et 2

Arrivée à Iguazu
Après 24h de bus et 3 changements avec la compagnie Tigre Iguazu, nous arrivons enfin à Iguazu.  J'ai malheureusement oublié mon polar dans le bus, il faudra en racheter un à Buenos Aires.

Le climat est chaud, on se rend directement à l'hôtel Familia Gorgues. C'est une petite pension tenue par une dame sympathique.  C'est beau,  propre et neuf. Pour 320p la nuit avec salle de bain,  on n'est pas volé par rapport aux autres hôtels.

Après les avoir croisés à Salta avant leur bus, on retrouve nos deux amis belges Aimeric et Anaïs qui nous ont proposé de se voir à notre arrivée à Iguazu pour manger ensemble.  Et quand il fait beau, que font des Belges, un barbecue bien sûr. 
On passe encore un moment agréable et on remettra ça le lendemain.

Jour 1, le côté Argentin
On prend la navette pour le parc avec la compagnie Rio Urugay, c'est un peu cher à 100p l'aller/retour.
L'entrée au parc coûte,  260p, pas donné tout ça.
Le parc est merveilleusement bien expliqué et agencé. Il y a des panneaux partout, on ne peut pas se tromper.
Il y a des Coatis partout,  c'est une sorte de raton laveur , il ne sont pas très peureux et recherche la nourriture à tout prix, même votre sandwich.
On commence par le camino inférieur et on découvre la merveille de loin. Il est difficile dès le premier point de vue de se rendre compte de l'immensité du site.
Plus on s'approche et plus le bruit est assourdissant.  C'est incroyable de voir cette étendue d'eau et ce débit interminable.  Le dernier point de vue du camino inférieur est une passerelle proche d'une chute,  attention,  ça mouille.
En grimpant vers le camino supérieur,  on passe par 2 chutes appelées ''2 hermanas''.
Le chemin du dessus permet d'aller plus loin et dans les chutes. On ne se lasse pas de voir toute cette eau et à chaque panorama, on essaie de s'imprégner de ce que l'on voit pour ne jamais oublier.

Le clou du spectacle sera la gorge du diable,  c'est un trou dans lequel s'engouffre une quantité d'eau inquantifiable dans un décor incroyable. On s'y rend avec un petit train. On n'apercoit même pas le fond de la rivière tellement la vapeur d'eau est forte.
Il est difficile de quitter ce point de vue, notre préféré.

Pour profiter encore du site et d'une autre lumière,  celle de la fin de journée,  on reparcoure le camino inférieur et une partie du supérieur.  On n'en a pas eu assez ;-).

Le soir, Aimeric et Anaïs nous contacte et les choux, ils ont déjà fait les courses pour le barbec, au menu des grillades de légumes (aubergines,  poivrons, maïs), du chorizo,  des olives, des chips, des carottes crues, du fromage.  Et oui, il faut savoir se faire plaisir de temps en temps.
On compare nos expériences sur les chutes. Encore une soirée sympa en leur compagnie et ça sera ''normalement'' notre dernier souper car nos chemins se séparent dès le lendemain, snif.

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